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Le salut de Dieu
19 avril 2018

L’œuvre et l’entrée (5)

  Aujourd’hui, vous savez tous que Dieu conduit les gens sur le bon chemin de la vie, qu’Il conduit l’homme à franchir l’étape suivante dans une autre ère, qu’Il conduit l’homme à transcender cette ancienne ère obscure, hors de la chair, loin de l’oppression des forces des ténèbres et de l’influence de Satan, afin que chaque personne vive dans un monde de liberté. Pour un demain merveilleux et afin que les gens puissent être plus audacieux dans leurs pas demain, l’Esprit de Dieu prévoit tout pour l’homme et, pour que l’homme ait plus de plaisir, Dieu consacre tous Ses efforts dans la chair à préparer le chemin devant l’homme, hâtant l’arrivée du jour après lequel l’homme languit. Que vous chéririez tous ce beau moment ; ce n’est pas un exploit facile de s’assembler avec Dieu. Bien que vous ne L’ayez jamais connu, vous avez déjà été avec Lui depuis longtemps. Si seulement tout le monde pouvait se souvenir pour toujours de ces jours magnifiques, mais éphémères et en faire leurs biens précieux sur terre. L’œuvre de Dieu a depuis longtemps été révélée à l’homme, mais, parce que les cœurs des hommes sont trop compliqués et parce qu’ils n’y ont jamais eu d’intérêt, l’œuvre de Dieu est restée interrompue sur son fondement d’origine. Leurs pensées, leurs conceptions et leurs perspectives mentales, semble-t-il, restent anachroniques, tellement que la perspective mentale de beaucoup d’entre eux ressemble à celle des primitifs des temps anciens et n’a pas changé du tout. En conséquence, les gens sont toujours confus et l’œuvre que Dieu fait n’est pas claire pour eux. Ils sont encore plus embrouillés au sujet de ce qu’ils font et de ce en quoi ils devraient entrer. Ces choses présentent d’énormes difficultés pour l’œuvre de Dieu et empêchent la vie des hommes de progresser en aucun temps. À cause de leur essence et de la cause fondamentale pour laquelle leur calibre est faible en ce moment, les hommes sont fondamentalement incapables de saisir ces choses et ne les considèrent jamais comme importantes. Si vous souhaitez progresser dans votre vie, vous devez commencer à prêter attention aux détails de votre existence, les comprendre tous afin de contrôler votre entrée dans la vie, transformer complètement le cœur de chacun de vous et résoudre les problèmes du vide dans votre cœur et de l’existence introvertie et ennuyeuse qui vous afflige, afin que chacun de vous soit renouvelé de l’intérieur et profite vraiment d’une vie plus intense, transcendante et libre. Le but est que chacun de vous puisse s’animer, être ravivé dans son esprit et en venir à posséder la ressemblance d’un être vivant. De tous les frères et sœurs avec lesquels vous entrez en contact, rarement y en a-t-il qui sont vibrants et frais. Ils sont tous comme des hommes singes d’autrefois, simples d’esprit et stupides, apparemment sans perspective de développement. Même pire, les frères et sœurs que J’ai rencontrés ont été aussi grossiers et barbares que des sauvages de montagne. Ils ne connaissent guère les bonnes manières et beaucoup moins l’essentiel sur la façon de se comporter. Il y a plusieurs jeunes sœurs qui, bien qu’elles puissent paraître intelligentes et belles, et qui soient devenues aussi belles que les fleurs, s’habillent toujours selon une mode « alternative ». Les cheveux d’une sœur[a] couvrent tout son visage, ne laissant rien voir de ses yeux. Bien que ses traits du visage soient propres et décents, sa coiffure est répugnante, provoquant une sensation étrange, comme si elle était la délinquante numéro un dans un centre de détention pour mineurs. Ses yeux, limpides et brillants comme des émeraudes dans l’eau, s’accordent avec ses vêtements et sa coiffure, ce qui les fait paraître comme deux lanternes vues soudainement sur fond de nuit noire, qui clignotent par intermittence avec un éclat aveuglant qui épouvante le cœur des hommes et pourtant, il semble en même temps qu’elle se cache délibérément de quelqu’un. Quand Je la rencontre, elle est toujours en train de concevoir des moyens pour fuir la « scène », comme un meurtrier qui vient de tuer quelqu’un et, dans sa peur d’être découvert, s’esquive constamment ; de même, elle est comme les Africains noirs[1] qui ont été des esclaves depuis des générations et ne peuvent jamais lever la tête devant les autres. Ce spectre de comportements, jusqu’à la façon dont ces gens s’habillent et se préparent, prendrait plusieurs mois de travail pour se développer.

 Pendant des milliers d’années, les Chinois ont mené une vie d’esclaves, et cela a tellement limité leurs pensées, leurs concepts, leur vie, leur langue, leur comportement et leurs actions, qu’ils ont été laissés sans la moindre liberté. Plusieurs milliers d’années d’histoire ont fait en sorte que des hommes actifs ayant un esprit soient rongés au point de devenir quelque chose qui ressemble à des cadavres dépourvus d’esprit. Plusieurs vivent sous le couteau de boucher de Satan, plusieurs vivent dans des maisons comme des antres de bêtes, plusieurs mangent la même nourriture que les bœufs ou les chevaux et plusieurs gisent, insensibles et dans le désordre, dans les « enfers ». De par l’apparence extérieure, les hommes ne sont pas différents de l’homme primitif, leur lieu de repos est comme un enfer, et comme compagnons ils sont entourés de tous types de démons souillés et des mauvais esprits. De l’extérieur, les êtres humains semblent être des « animaux » supérieurs ; en fait, ils vivent et résident avec des démons souillés. Sans personne pour prendre soin d’eux, les hommes vivent sous l’embuscade de Satan, pris dans ses corvées sans aucun moyen d’échapper. Plutôt que de dire qu’ils se rassemblent avec leurs êtres chers dans des maisons confortables, en vivant des vies heureuses et satisfaisantes, on devrait dire que les êtres humains vivent dans le séjour des morts, entrant en contact avec des démons et s’associant avec des diables. En fait, les gens sont encore liés par Satan, ils vivent là où les démons souillés se rassemblent et ils sont manipulés par ces démons souillés, comme si leur lit était un endroit pour que leurs cadavres somnolent, comme si c’était un nid douillet. En entrant dans leur maison, la cour est froide et solitaire, un vent froid sifflant dans les branches sèches. Quand la porte sur l’« espace de vie » est ouverte, la pièce est noire comme du charbon. On peut tendre sa main et ne pas voir ses doigts. Un peu de lumière pénètre par une fissure dans la porte, ce qui rend la pièce encore plus lugubre et terrible. De temps en temps, les rats émettent d’étranges cris aigus, comme s’ils se réjouissaient. Tout dans la pièce est répugnant et effrayant, comme une maison où vivait auparavant quelqu’un qui vient d’être mis dans un cercueil. Le lit, les duvets et la piètre petite armoire dans la pièce sont tous couverts de poussière ; sur le plancher, plusieurs petits tabourets montrent leurs crocs et brandissent leurs griffes et des toiles d’araignées pendent sur les murs. Un miroir repose sur la table, un peigne en bois à côté. Marchant vers le miroir, tu prends une bougie et tu l’allumes. Tu vois que le miroir est recouvert de poussière, créant une sorte de « maquillage » sur les reflets des gens[b] de sorte qu’ils ont l’air de sortir tout juste d’un tombeau. Le peigne est plein de cheveux. Toutes ces choses sont vieilles et débraillées et il semble qu’elles viennent d’être utilisées par quelqu’un qui vient de mourir. En regardant le peigne, on dirait qu’il y a un cadavre gisant d’un côté. Les cheveux dans le peigne, sans flux de sang en eux, portent l’odeur de mort. Un vent froid pénètre par la fissure de la porte, comme si un fantôme se glissait à travers la fissure, revenant pour habiter la pièce. Il y a un refroidissement oppressif dans la pièce et, tout à coup, une puanteur de cadavre en décomposition et, à ce moment-là, on voit qu’il y a un méli-mélo de choses pendues sur les murs, il y a une literie fripée, sale et malodorante sur le lit ; il y a du grain dans un coin, une couche de poussière couvre l’armoire, le plancher est recouvert de brindilles et de saleté, et ainsi de suite, comme s’ils venaient d’être utilisés par une personne morte, marchant en titubant, grinçant des dents et griffant dans le vide. C’est suffisant pour vous donner des frissons. Il n’y a aucun vestige de vie nulle part dans la pièce, tout est sombre et moisi, comme le séjour des morts et l’enfer dont parle Dieu. C’est comme le tombeau d’un homme, avec une armoire non peinte, des tabourets, des cadres de fenêtres et des portes revêtus de vêtement de deuil et rendant un hommage silencieux aux morts. Les hommes vivent dans ces enfers depuis plusieurs décennies, ou plusieurs siècles, voire plusieurs millénaires, sortant tôt et revenant tard. Ils sortent de leur « tombe » à l’aube au chant du coq, lèvent les yeux au ciel, regardent le sol et commencent leurs activités de la journée. Quand le soleil se couche derrière les montagnes, ils traînent leur corps fatigué vers la « tombe » ; aussitôt rempli leur ventre, c’est le crépuscule. Ensuite, le lendemain, après avoir terminé leurs préparatifs pour laisser la « tombe » de nouveau, ils éteignent la lumière qui semble émettre le rayonnement des feux phosphorescents. À ce moment-là, tout ce qui se voit sous le clair de lune est des buttes de tombe répandues comme de petits monticules dans tous les coins. De l’intérieur des « tombes » s’échappe le bruit des ronflements, s’élevant et retombant. Les gens sont tous profondément endormis et tous les démons et les esprits souillés semblent aussi se reposer paisiblement. De temps en temps, on entend le croassement des corbeaux au loin. Le son de ces cris désolés dans une nuit tranquille et silencieuse comme celle-là suffit pour faire sentir des frissons tout le long de la colonne vertébrale et faire se dresser les cheveux sur la tête… Qui sait combien d’années ils ont passées dans de tels milieux, mourant et renaissant ! Qui sait combien de temps ils sont restés dans le monde des humains où les hommes et les fantômes socialisent et, de plus, qui sait combien de fois ils ont fait leurs adieux au monde ! Dans cet enfer sur terre, les hommes mènent une vie heureuse, comme s’ils n’avaient pas un seul mot de plainte, car ils se sont depuis longtemps habitués à vivre dans le séjour des morts. Et ainsi, les gens sont fascinés par cet endroit où résident les démons souillés comme si les démons souillés étaient leurs amis et leurs compagnons, comme si le monde des humains était une bande de quartier[2], car l’essence originelle de l’homme s’est depuis longtemps volatilisée sans un soupir ; elle a disparu sans laisser de traces. L’apparence des hommes rappelle en quelque chose un démon souillé ; plus que cela, leurs actes sont manipulés par des démons souillés. Aujourd’hui, ils ne semblent pas différents des démons souillés comme s’ils étaient nés de démons souillés. En outre, les hommes sont extrêmement aimants envers leurs ancêtres et ils les soutiennent ; qui sait que les hommes ont longtemps été tellement opprimés par Satan qu’ils sont devenus comme des gorilles dans les montagnes ? Leurs yeux rouges ont un regard implorant et, dans la lumière faible qu’ils dégagent, il y a un léger vestige de la malice maléfice d’un démon souillé. Leurs visages sont couverts de rides, craqués comme l’écorce d’un pin, leurs bouches sont pendantes comme si elles étaient façonnées par Satan, leurs oreilles sont couvertes de saleté à l’intérieur et à l’extérieur, leurs dos sont arqués, leurs jambes ont du mal à soutenir leur corps, et leurs bras décharnés se balancent rythmiquement d’avant en arrière. C’est comme s’ils n’étaient que de la peau et des os, mais encore une fois, ils sont également aussi gras qu’un ours de montagne. À l’intérieur et à l’extérieur, ils sont soignés et habillés comme un singe de l’antiquité ; c’est comme si, aujourd’hui, ces singes n’ont pas encore évolué complètement dans la forme de l’homme moderne[3] tellement arriérés sont-ils !

 L’homme vit côte à côte avec les animaux et ils s’entendent harmonieusement sans disputes ni désaccords verbaux. L’homme est consciencieux dans ses soins et sa préoccupation pour les animaux et les animaux existent dans l’intérêt de la survie de l’homme,ion entre l’homme et la bête est une relation intime[4] et harmonieuse[5], et les démons souillés, semble-t-il, sont la combinaison parfaite entre l’homme et la bête. Ainsi, l’homme et les démons souillés sur la terre sont encore plus intimes et inséparables : bien que séparé des démons souillés, l’homme leur reste lié ; pendant ce temps, les démons souillés ne cachent rien à l’homme et lui « dévouent » tout ce qu’ils ont. Tous les jours, les gens s’amusent dans le « palais du roi de l’enfer », fêtant en compagnie du « roi de l’enfer » (leur ancêtre) et manipulés par celui-ci, de sorte qu’aujourd’hui les gens sont devenus couverts de crasse et, après avoir passé tellement de temps dans le séjour des morts, ont depuis longtemps cessé de vouloir retourner au « monde des vivants ». Ainsi, dès qu’ils voient la lumière et prennent connaissance des exigences de Dieu, et du caractère de Dieu, et de Son œuvre, ils se sentent nerveux et anxieux, désirant encore retourner aux enfers et résider avec des fantômes. Il y a longtemps qu’ils ont oublié Dieu et donc ils ont toujours erré dans le cimetière. Quand Je rencontre une personne, J’essaie de lui parler et ce n’est qu’à ce moment-là que Je découvre que la personne qui est devant Moi n’est pas du tout humaine. Ses cheveux sont hirsutes, son visage est sale et il y a quelque chose du loup dans son large sourire. De même, elle semble avoir la gaucherie d’un fantôme qui vient à peine de sortir du tombeau et de voir l’homme du monde des vivants. Cette personne essaie toujours de simuler un sourire ; il apparaît à la fois insidieux et sinistre. Quand elle Me sourit, c’est comme si elle avait quelque chose à dire, mais ne pouvait pas trouver les mots et donc, tout ce qu’elle peut faire, c’est de se tenir d’un côté, ayant l’air vide et stupide. Vue d’arrière, elle semble présenter l’« image puissante des Chinois laborieux » ; à ce moment-là elle apparaît encore plus répugnante, rappelant l’image des descendants du légendaire Yan Huang / Yan Wang d’autrefois[c] dont les gens parlent. Quand Je l’interroge, elle baisse la tête en silence. Il lui faut beaucoup de temps pour répondre et elle est très inhibée quand elle le fait. Elle ne peut pas garder ses mains tranquilles et elle suce ses deux doigts comme un chat. Je me rends compte seulement maintenant qu’il semble que les mains de l’homme viennent tout juste de fouiller dans des ordures avec des ongles échancrés et tellement décolorés qu’on ne saurait jamais qu’ils étaient censés être blancs, des ongles allongés fortement couverts de saleté. Encore plus dégoûtant, le dos de leurs mains ressemble à la peau d’un poulet qui vient d’être plumée. Les lignes à travers leurs mains sont presque toutes imprégnées du prix du sang et de la sueur des labeurs de l’homme. Dans chacune, il y a quelque chose qui ressemble à de la saleté, apparemment exsudant l’« odeur de la terre », pour mieux représenter la richesse et l’excellence de l’esprit de souffrance de l’homme de sorte que cet esprit de souffrance a même été profondément marqué dans chacune des lignes des mains de l’homme. De la tête aux pieds, aucun vêtement que les hommes portent ne ressemble à une peau d’animal, mais peu savent-ils que, soient-ils si « honorables », leur valeur est en réalité inférieure à la fourrure d’un renard, moins même qu’une seule plume de paon, car leurs vêtements les ont depuis longtemps fait paraître si laids qu’ils ont l’air pire qu’un cochon et un chien. Son haut léger pend très bas dans son dos et ses jambes de pantalon, comme des intestins de poulet, exposent complètement sa laideur à la lumière du soleil. Il est court et étroit, comme s’il s’agissait de démontrer que ses pieds ont depuis longtemps été débandés : ce sont de gros pieds, non les « lotus dorés de 7,5 centimètres » de l’ancienne société. L’accoutrement de cette personne est trop occidentalisé, mais aussi trop séducteur. Quand je la rencontre, elle est toujours timide, son visage rouge cramoisi, et elle est incapable de lever les yeux, comme si elle avait été battue à plat par des démons souillés et ne pouvait plus se résoudre à regarder les gens en face. La poussière couvre le visage des hommes. Cette poussière, tombée du ciel, semble tomber tout à fait injustement sur le visage des hommes lui donnant l’apparence d’être couvert de duvet de moineau. Les yeux des hommes sont comme ceux d’un moineau aussi : petits et secs, sans aucune luminosité. Quand ils parlent, leur discours est habituellement hésitant et évasif, répugnant et dégoûtant envers les autres. Pourtant, plusieurs exaltent ces hommes comme les « représentants de la nation ». N’est-ce pas une blague ? Dieu souhaite changer les hommes, les sauver, les retirer du tombeau de la mort, afin qu’ils puissent s’échapper de la vie qu’ils mènent dans le séjour des morts et en enfer.

 Notes de bas de page :

 [1] Les « Africains noirs » désignent les Noirs qui ont été maudits par Dieu, qui ont été esclaves depuis des générations.

 [2] « bande de quartier » est une métaphore pour un groupe de méchants. Elle se réfère à la corruption de l’humanité et à l’absence d’êtres humains saints dans l’humanité.

 [3] Cette phrase se réfère à l’évolution des hommes singes dans la forme des hommes d’aujourd’hui. L’intention est satirique : en fait, il n’existe pas de théorie de singes anciens en transition vers des êtres humains qui marchent debout.

 [4] « intime » est utilisé avec ironie.

 [5] « harmonieuse » est utilisé avec ironie.

 [a] Le texte original se lit : « elle »

 [b] Le texte original se lit le « le visage des hommes ».

 [c] « Yan » et « Huang » sont le nom de deux empereurs mythologiques qui furent parmi les premiers à donner à la Chine sa culture. « Yan Wang » est le nom chinois pour « roi de l’enfer ». « Yan Huang » et « Yan Wang » sont presque homophones lorsqu’ils sont prononcés en mandarin.

 Source: L’Église de Dieu Tout-Puissant

 

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