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Le salut de Dieu
26 juin 2018

L’œuvre et l’entrée (2)

Votre travail et votre entrée sont plutôt faibles ; les hommes n’accordent pas d’importance au travail et sont encore plus négligents avec l’entrée. Les hommes ne les considèrent pas comme des leçons dans lesquelles ils doivent entrer ; par conséquent, dans leur expérience spirituelle, pratiquement, tout ce que les hommes voient, ce sont des châteaux dans le ciel. On ne vous demande pas beaucoup quant à l’expérience de travail, mais, en tant qu’hommes qui doivent être amenés à la perfection par Dieu, vous devez tirer des leçons lorsque vous travaillez pour Dieu afin de pouvoir bientôt être selon le cœur de Dieu. Tout au long des âges, ceux qui ont travaillé ont été appelés ouvriers ou apôtres, ce qui fait référence à un petit nombre de personnes utilisées par Dieu. Cependant, le travail dont Je parle aujourd’hui ne se réfère pas uniquement à ces ouvriers ou ces apôtres ; il est destiné à tous ceux qui doivent être amenés à la perfection par Dieu. Peut-être y en a-t-il plusieurs qui s’intéressent peu à cela, mais, dans l’intérêt de l’entrée, il serait préférable de discuter de cette vérité.

Quand il parle du travail, l’homme croit qu’il s’agit de courir çà et là pour Dieu, de prêcher dans tous les lieux et de dépenser pour Dieu. Bien que cette croyance soit correcte, elle est trop unilatérale ; ce que Dieu exige de l’homme n’est pas seulement qu’il se promène çà et là pour Lui, mais plutôt qu’il fasse Son ministère et Son service dans l’esprit. Beaucoup de frères et sœurs n’ont jamais pensé à travailler pour Dieu, même après tant d’années d’expérience, car le travail tel que conçu par l’homme est incongru avec ce que Dieu exige. Par conséquent, l’homme ne porte aucun intérêt au travail, ce qui est précisément la raison pour laquelle son entrée est également tout à fait unilatérale. Vous devriez tous commencer à entrer en travaillant pour Dieu, afin de mieux expérimenter tous ses aspects. C’est en cela que vous devriez entrer. Le travail ne signifie pas qu’il faille courir çà et là pour Dieu, mais se réfère plutôt à la question du plaisir que Dieu tire de la vie de l’homme et de tout ce qu’il fait. Le travail se réfère à la fidélité de l’homme à l’égard de Dieu et à sa connaissance de Dieu, qui l’amène à témoigner en faveur de Dieu et à prendre soin de l’homme. Cela est la responsabilité de l’homme et tout homme devrait le comprendre. En d’autres termes, votre entrée est votre travail ; vous cherchez à entrer au cours de votre travail pour Dieu. Faire l’expérience de Dieu ne consiste pas seulement à manger et boire Sa parole ; plus important encore, vous devez être en mesure de témoigner en faveur de Dieu, de servir Dieu, de prendre soin de l’homme et de lui donner ce dont il a besoin. Cela est le travail et aussi votre entrée ; c’est ce que tout homme devrait accomplir. Nombreux sont ceux qui accordent de l’importance uniquement à se promener çà et là pour Dieu et à la prédication dans tous les lieux, mais négligent leur expérience personnelle et leur entrée dans la vie spirituelle. C’est ce qui pousse ceux qui servent Dieu à devenir ceux qui résistent à Dieu. Pendant de nombreuses années, ceux qui servent Dieu et prennent soin de l’homme n’ont considéré que le travail et la prédication comme une entrée et n’ont pas pensé à leur propre expérience spirituelle comme à une entrée importante. Au contraire, ils comptent sur l’illumination de l’œuvre du Saint-Esprit pour enseigner aux autres. Lorsqu’ils prêchent, ils sont surchargés et font l’objet du travail du Saint-Esprit, et ainsi ils libèrent la voix du Saint-Esprit. À ce moment-là, ceux qui travaillent se sentent contents et satisfaits d’eux-mêmes, comme si l’œuvre du Saint-Esprit était leur propre expérience spirituelle ; ils estiment que toutes leurs paroles pendant ce temps viennent de leur propre être, et aussi comme si leur propre expérience n’était pas aussi claire qu’ils l’ont décrite. En outre, ils n’ont pas une petite idée de ce qu’il faut dire avant de parler, mais quand le Saint-Esprit travaille en eux, ils ont un flux ininterrompu et continu de paroles. Après que tu as prêché une fois avec une telle attitude, tu sens que ta stature réelle n’est pas si petite que tu croyais. Après que le Saint-Esprit ait travaillé en toi de façon similaire plusieurs fois, tu conclus que tu as déjà la stature et tu crois à tort que le travail du Saint-Esprit est ta propre entrée et ton être. Lorsque tu fais constamment cette expérience, tu deviens négligent au sujet de ta propre entrée. Tu deviens alors paresseux sans t’en rendre compte et tu ne donnes aucune importance à ta propre entrée. Par conséquent, lorsque tu prends soin des autres, tu dois clairement faire la distinction entre ta stature et le travail du Saint-Esprit. Cela facilitera ton entrée et ton expérience en profitera. La dégénérescence de l’homme commence quand il assimile sa propre expérience au travail du Saint-Esprit. Donc, quel que soit le devoir que vous accomplissez, vous devez considérer votre entrée comme une leçon clé.

 L’homme travaille pour accomplir la volonté de Dieu, pour amener tous ceux qui sont selon le cœur de Dieu devant Lui, pour amener l’homme à Dieu, et pour présenter le travail du Saint-Esprit et la direction de Dieu à l’homme, perfectionnant ainsi les fruits de l’œuvre de Dieu. Pour cette raison, il est impératif que vous compreniez l’essence du travail. Étant utilisés par Dieu, tous les hommes sont dignes de travailler pour Dieu, c’est-à-dire que tous ont la possibilité d’être utilisés par le Saint-Esprit. Cependant, il y a un élément que vous devez saisir : quand l’homme fait le travail de Dieu, l’homme a la possibilité d’être utilisé par Dieu, mais ce qui est dit et ce qui est connu par l’homme ne sont pas entièrement la stature de l’homme. Ce n’est que par votre travail que vous pouvez mieux connaitre vos lacunes et recevoir une plus grande illumination du Saint-Esprit, et ainsi obtenir une meilleure entrée dans votre travail. Si l’homme considère la direction de Dieu comme la propre entrée de l’homme et comme ce qui est inhérent à l’homme, la stature de l’homme n’a aucun potentiel de croissance. Le Saint-Esprit éclaire les hommes quand ils sont dans un état normal ; alors les hommes souvent font l’erreur de percevoir l’illumination qu’ils reçoivent comme étant leur propre stature dans la réalité, car le Saint-Esprit éclaire d’une manière très normale : en faisant usage de ce qui est inhérent à l’homme. Quand les hommes travaillent et parlent, ou au cours de leur prière dans leurs dévotions spirituelles, soudain une vérité devient claire pour eux. En réalité, cependant, ce que l’homme voit n’est que l’illumination du Saint-Esprit (naturellement, cela est lié à la coopération de l’homme), et non à la vraie stature de l’homme. Après que l’homme ait vécu une période de nombreuses difficultés réelles, sa vraie stature devient manifeste dans de telles circonstances. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’homme découvre que la stature de l’homme n’est pas si grande, et l’égoïsme, les considérations personnelles et la cupidité de l’homme apparaissent. Ce n’est qu’après plusieurs cycles d’une telle expérience que beaucoup de ceux qui ont l’esprit éveillé se rendront compte que telle n’était pas leur propre réalité dans le passé, mais qu’elle était seulement une illumination momentanée du Saint-Esprit et que l’homme avait tout simplement reçu la lumière. Quand le Saint-Esprit éclaire l’homme afin qu’il comprenne la véritéc’est souvent d’une manière claire et distincte, sans explication sur la façon dont les choses se sont produites ou dans quelle direction elles vont. Il ne tient pas compte des difficultés de l’homme dans cette révélation et révèle plutôt la vérité directement. Quand l’homme se heurte à des difficultés dans l’entrée, l’homme intègre alors l’illumination du Saint-Esprit et cela devient l’expérience réelle de l’homme. Par exemple, une sœur célibataire parle ainsi pendant un échange : « Nous ne cherchons pas la gloire et les richesses ni ne convoitons le bonheur d’un amour entre mari et femme ; nous cherchons seulement à consacrer un cœur pur et sincère à Dieu. » Elle poursuit en disant : « Une fois que les gens se marient, beaucoup de choses leur arrivent et leur cœur d’amour pour Dieu n’est plus authentique. Leur cœur est toujours préoccupé par leur famille et leur conjoint, et donc leur cœur devient beaucoup plus compliqué… » Alors qu’elle parle, c’est comme si les paroles qu’elle dit sont ce qu’elle pense dans son cœur ; ses paroles sont retentissantes et puissantes, comme si tout ce qu’elle dit provient profondément de son cœur. Elle souhaite pouvoir se consacrer entièrement à Dieu et espère que ses frères et sœurs, de même statut, partagent la même résolution. On peut dire que ta résolution et ton sentiment d’être touchée en ce moment proviennent entièrement de l’œuvre du Saint-Esprit. Lorsque la méthode de l’œuvre de Dieu change, tu as vieilli de quelques années ; tu vois que toutes tes camarades de classe et tes amies de ton âge ont un mari, ou tu entends dire qu’après que telle ou telle s’est mariée, son époux l’a emmenée vivre dans la ville et elle y a trouvé un emploi. Quand tu la vois, ton cœur commence à se sentir envieux. Tu vois qu’elle est pleine de charme et d’élégance de la tête aux pieds ; quand elle parle, elle a un style cosmopolite et n’a plus rien de campagnard, et cela éveille des sentiments en toi. Toi, t’étant dépensée pour Dieu toute la vie, tu n’as aucune famille ou carrière et as enduré beaucoup de traitement ; il y a longtemps, tu es arrivée à l’âge mûr et ta jeunesse se perd lentement comme si tu avais été dans un rêve. Tu es arrivée à ce jour, mais tu ne sais pas où poser les pieds. À ce moment-là tu es dans un tourbillon de pensée, comme si tu ne savais plus que faire. Toute seule et incapable de bien dormir, ne réussissant pas à t’endormir pendant toute la nuit, sans t’en rendre compte, tu commences à penser à ta résolution et à tes vœux solennels à Dieu, et pourquoi, malgré tout, te retrouves-tu dans un état si déplorable ? Inconsciemment, tu laisses s’échapper des larmes silencieuses et tu ressens une douleur déchirante. Tu te présentes devant Dieu pour prier et commencer à penser à l’intimité et à la proximité inséparable pendant tes jours heureux avec Dieu. Scène après scène apparaissent devant tes yeux et le serment que tu as fait ce jour-là résonne à nouveau dans tes oreilles : « Dieu n’est-il pas mon seul intime ? » À ce moment-là, tu es en sanglots : « Dieu ! Dieu bien-aimé ! Je T’ai déjà donné mon cœur entier. Je souhaite T’être promise pour toujours et je T’aimerai indéfectiblement toute ma vie… » Ce n’est que pendant que tu luttes dans cette extrême souffrance que tu sens vraiment combien Dieu est beau, et alors seulement tu réalises clairement : j’ai tout consacré à Dieu depuis longtemps. Après un tel coup, tu deviens beaucoup plus expérimentée dans cette affaire et vois que l’œuvre du Saint-Esprit à ce moment-là n’est pas possédée par l’homme. Dans tes expériences ultérieures, tu n’es plus contrainte dans cette entrée ; c’est comme si tes cicatrices avaient grandement profité à ton entrée. Chaque fois que tu te retrouveras dans de telles circonstances, tu te rappelleras immédiatement de tes larmes de ce jour-là, comme si tu te réunissais avec Dieu. Tu crains toujours de briser ta relation avec Dieu à nouveau et d’endommager le lien émotionnel (la relation normale) entre toi et Dieu. C’est ton travail et ton entrée. Par conséquent, lorsque vous faites l’objet du travail du Saint-Esprit, vous devriez en même temps vous concentrer davantage sur votre entrée, prêtant attention à l’œuvre du Saint-Esprit et à votre entrée, tout en intégrant le travail du Saint-Esprit dans votre entrée, afin d’être perfectionnés par Lui et de permettre à l’essence de l’œuvre du Saint-Esprit de vous marquer. Au cours de votre expérience de l’œuvre du Saint-Esprit, vous en venez à connaitre le Saint-Esprit et à vous connaitre vous-mêmes aussi, et au milieu des nombreux cas d’extrême souffrance, vous développez une relation normale avec Dieu, et votre relation avec Dieu grandit de jour en jour. Après d’innombrables expériences d’émondage et de raffinement, vous développez un véritable amour pour Dieu. Voilà pourquoi vous devez comprendre que la souffrance, les coups et les tribulations ne présentent aucune menace ; ce qui est apeurant, c’est de n’avoir que le travail du Saint-Esprit sans votre entrée. Lorsque viendra le jour où le travail de Dieu sera terminé, vous aurez travaillé pour rien ; bien que vous ayez expérimenté l’œuvre de Dieu, vous n’aurez pas appris à connaitre le Saint-Esprit ou n’aurez pas reçu votre propre entrée. L’illumination de l’homme par le Saint-Esprit n’a pas pour but de soutenir la passion de l’homme, mais d’ouvrir une voie pour l’entrée de l’homme et de permettre à l’homme de connaitre le Saint-Esprit, et ainsi de vénérer et d’adorer Dieu en son cœur.

   Source: « L’œuvre et l’entrée (2) »

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